03 avril 2008

14e Commémoration du génocide des Tutsi du Rwanda



Communiqué de l'association Ibuka
Objet : 14ème Commémoration du génocide des Tutsi du Rwanda

Le 7 avril 1994 débuta le génocide des Tutsi du Rwanda qui dura près de 3 mois et fit plus de 1.000 000 de morts.

En vue de leur rendre hommage, Ibuka France, association dont l'objet est la préservation de la mémoire, la justice et le soutien aux rescapés, organise le lundi 7 avril 2008 à 16h, un rassemblement devant le « Mur pour la Paix », place du Champ de Mars. Cette manifestation sera suivie d'une cérémonie du souvenir qui se déroulera de 18h30 à 22h au 57, rue Traversière (75012 Paris).

A cette occasion, Ibuka France note avec satisfaction les avancées réalisées depuis quelques mois en France en rapport avec le génocide. La France a montré ces derniers mois qu'elle ne sera pas le refuge pour les génocidaires et un havre pour les négationnistes. En outre, Ibuka France appuie tous les efforts entrepris par les deux gouvernements de France et du Rwanda dans le sens de l'apaisement des tensions et de la réconciliation.

Ibuka France voit dans la démarche actuelle du gouvernement français une immense source d'espoir. Notre souhait est que la France confirme cette position, que le pas qu'elle a franchi en matière de justice se poursuive, que son discours et sa position sur le génocide soient plus clairs et plus nets, qu'elle se défende avec fermeté contre ceux qui veulent faire d'elle une terre du négationnisme, et que la reprise des relations diplomatiques avec le Rwanda soit aussi l'occasion de participer plus activement à la reconstruction des veuves, des orphelins et de tous les rescapés du génocide.

L'Union des Étudiants Juifs de France (UEJF) et le Collectif VAN se joignent à Ibuka France pour vous convier à ces manifestations comme un geste d'humanité envers les victimes et un signe de votre engagement pour qu'il n'y ait plus ça.

Paris, le 2 avril 2008
Contact
Ibuka France, tél :06-59-18-51-65

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14e Commémoration du génocide des Tutsi du Rwanda : programme parisien


Paris le 7 Avril 2008 de 16 à 22h00


1- de 16h à 17h30 : Rassemblement devant le « Mur pour la Paix », place du Champ de Mars sur le thème «Oublier, nier valent complicité ».
Accès : Métro Ecole Militaire (ligne 8) ou La Motte Picquet (Lignes 6, 8,10)

2- Cérémonie du Souvenir
Adresse : 57, Rue Traversière, 75012 Paris
Accès : Gare de Lyon (M° Ligne 1, ou RER A/D) : sortie 1

18h30 Mot d’accueil

18h40 Hommage à la mémoire des morts

21h00 Clôture

21h05 Verre de l’amitié

22h00 FIN

Journée organisée par Ibuka France.
Avec le soutien et la participation des Associations : Communauté Rwandaise de France, Union des Étudiants Juifs de France, Centre Simon Wiesenthal, Étude sans Frontières, SOS Racisme, CPCR, Conseil de Coordination des organisations Arméniennes de France, Comité de Défense de la Cause Arménienne, SURVIE, NOR SEROUND
Adresse e-mail : asso.ibuka@tiscali.fr
Site: http://one.xthost.info/ibukafrance

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Colloque international (Montréal) Les récits de témoignage des génocides

Dans le cadre de la 14e commémoration du génocide des Tutsi du Rwanda :

Les récits de témoignage des génocides
Montréal, Université Concordia, du 3 au 5 avril 2008

Jeudi 3 avril
Salle 002.260, Pavillon EV. (1515 Ste-Catherine Ouest)

17h00-17h30 : Accueil des participants et inscriptions
17h30-18h00 : Mot (s) d’ouverture
17h30 : Josias Semujanga
17h40 : Callixte Kabayiza
17h50 : Steven High
18h-18h45 : Conférence d’ouverture “Témoignage et moment d’écriture” (Alain Godlschager, University of Western Ontario) Présenté par Josias Semujanga
18h45 : Cocktail

Vendredi 4 avril 2008 :
Salle 767, Pavillon Hall (1455 de Maisonneuve Ouest)

8h30-9h00: Inscriptions
9h00-11h00 : Table-ronde : Comment témoigner d’un génocide ? (animée par Léo Kalinda)
Sam Ouen Yem
Annette Aghazarian
Davy Trop
Théodore Simburudali
Savary Chheim-Kieth
Egide Karuranga
Berthe Kayitesi
Eugène Nshimiyimana

11h00-11h15 : Pause Café

11h15 - 12h45 : Les défis du témoignage (séance présidée par Béatrice Rangira Gallimore)
11h15 : L’art dramatique et le génocide des Tutsi au Rwanda (Marie-Chantal Kalisa, University of Nebraska)
11h45 : L’espace public dans les récits de témoignage : rupture et restauration d’un échange (Catalina Sagarra, Trent University)
12h15 : Mémoire éclatée (Eugène Nshimiyimana, Queen’s University)

12h45-14h00 : Lunch

14h00- 15h30 : L’écriture du génocide (séance présidée par Christiane Ndiaye)
14 h00 : Témoignage sur l’enfance pendant la Shoah et le génocide des Tutsi (Catherine Coquio, Université de Poitiers)
14h30 : Pour qu(o)i écrivent-ils, ces témoins rescapés?
(Philippe Basabose, Memorial University)
15h00 :Témoignage et réconciliation : sans amour et sans haine (Boubacar Boris Diop, écrivain)
15h30-16h00 : Pause Café

16h00-18h30 : La force de l’image dans le témoignage (séance présidée par Marie-Chantal Kalisa)

16h00 : La bande dessinée, une forme de témoignage/relais de la mémoire
Ariane Mathieu (Université Concordia)
16h30 : Génocide des Tutsi : mémoire, image et transmission de l’événement dans une perspective de réconciliation en milieu scolaire
Sonia Fournier (Université du Québec à Rimouski)
17h00 : Visionnement d’un documentaire sur la culture de la paix et l’éducation à la tolérance.
Pauline Côté (Université du Québec à Rimouski)
17h50-18h20: Débat sur le documentaire

18h20-18h40: Pause Café
18h40-21h30: Parole déliée (séance animée par Monique Mukabalisa)
18h40-21hh30: Of blood, marrow, and bone. Bearing witness: stories of survival, loss and (not) belonging
Lisa Ndejuru, Devora Neumark et Pauline Ngirumpatse (Isangano)

Samedi le 5 avril
Salle 767, Pavillon Hall (1455 de Maisonneuve Ouest)

8h30-9h00 : Inscriptions
9h00-10h40 : Témoignage et construction identitaire (séance présidée par Françoise Naudillon)
9h00 : Le génocide et la reconfiguration identitaire du rescapé
Dominique Payette (Université Laval)
9h40 : Rescapé et / ou témoin. De la construction identitaire. Jean-Pierre Karegeye (University of Berkeley)
10h10 : La mémoire pour l’avenir. Théopiste Kabanda (Université de Montréal)

10h40-11h00 : Pause

11h00 - 12h30 : Usages de la mémoire (séance présidée par Marie-Natalie LeBlanc)
11h00 : Le corps, lieu du vrai non vraisemblable. Analyse rhétorique du journal de Victor Klemperer. Michael Rinn (Université Brest / Paris XII)
11h30 : Dire le corps : obstacle au témoignage féminin au Rwanda
Béatrice Rangira Gallimore (Université de Missouri)
12h00 : Murambi le livre des ossements : De l’impossible témoignage à la possibilité esthétique (Fodé Sarr, Université de Montréal)

12h30-14h00 : Lunch

14h00-15h30 : Transmission de la mémoire du génocide (séance présidée par Michael Rinn)
14h00 : La transmission intergénérationnelle de la destruction de Tutsi Josias Semujanga (Université de Montréal)
14h30 : La force du témoignage et l’impuissance du témoin (Marcel Kabanda, UNESCO / Université Paris I)
15h00 : Comment dire le génocide des Tutsi à un étranger ? (Jean-Marie Vianney Rurangwa, écrivain)

15h30-16h30 : Valeur thérapeutique des récits de témoignage (séance présidée par Eugène Nshimiyimana)
15h30 : Valeur thérapeutique des récits de rescapés du génocide des Tutsi du Rwanda au sein d’un groupe d’accompagnement à Montréal.
Callixte Kabayiza, Berthe Kayitesi, Page-Rwanda et Emmanuel Habimana (Université du Québec à Trois-Rivières).

16h30-18h30 : Table-ronde « Témoignage, éducation et réconciliation » (animée par Dominique Payette)

Boubacar Boris Diop (Écrivain)
Pauline Côté (UQ Rimouski)
Catherine Coquio (Poitiers)
Sonia Fournier (UQ Rimouski)
Marcel Kabanda (UNESCO, Université de Paris I)
Callixte Kabayiza (Page Rwanda/UQTR)
Edda Mukabagwiza (Ambassadrice du Rwanda au Canada)
Béatrice Rangira (Missouri)
Théodore Simburudali (IBUKA)

18h30 : Clôture du colloque

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04 février 2008

Colloque à Kigali : Génocide au Rwanda et Reconstruction des Champs du Savoir

Génocide au Rwanda et Reconstruction des Champs du Savoir

Du 23 au 25 juillet 2008
à Kigali, Rwanda.


Mot de l'organisateur

Le colloque pluridisciplinaire «Génocide au Rwanda et Reconstruction des champs du savoir» se tiendra à Kigali/Rwanda du 23 juillet au 25 juillet 2008. Il est organisé par le Centre d’étude pluridisciplinaire sur le génocide (www.igscrwanda.org) et ses partenaires. La durée sera de 30 minutes par communication. Les présentations peuvent être en français ou en anglais. Prière d’envoyer votre proposition de 300 mots maximum avant le 25 février 2008 au secrétariat à l’adresse suivante: (Rwandaconference@yahoo.com). Les personnes qui auront soumis un résumé seront informées de la décision du comité scientifique le 15 mars 2008 par courrier électronique.

Jean-Pierre Karegeye
Organisateur

University of California at Berkeley
Directeur du Centre d Étude Pluridisciplinaire sur le Génocide/Kigali-Rwanda
Courriel: karegeye@berkeley.edu

(Illustration : Sonia Fournier)

Argumentaire


L’avènement du génocide, en plus de la destruction des membres d’une communauté, ébranle la totalité du réel et met le chercheur devant des situations inédites. Tous les systèmes sur lesquels s’organise le savoir semblent en suspens, ou pire, en décomposition. Le paradoxe est que le projet d’extermination s’est appuyé (in)volontairement sur des récits ethnologiques des siècles derniers qui ont érigé Hutu, Tutsi et Twa en objets de recherche scientifique et de découverte. D’où le «discours du savoir», passé ou présent, figure le crime et le justifie en s’éloignant de tout dynamisme raisonnable qui s’étend sur un horizon éthique.
L’après-génocide, comme lieu de discours et de nouveaux paradigmes, expose la fragilité de nos approches à vouloir circonscrire un objet d’étude qui les déborde. Dès lors, le génocide s’écrit à partir d’un trou, d’une faille, qui oblige (nt) à opérer un tournant épistémologique pour pouvoir réévaluer les cadres théoriques des champs du savoir. Il s’ensuit donc que les méthodes en sciences humaines et sociales, et la quête de sens, à partir du génocide, entraînent irrésistiblement la reconstruction ou la refondation des champs du savoir.

Les axes «avant», «pendant» et «après» ne devraient pas occulter les témoignages des survivants sur le «vivre avec» le génocide. Le «vivre avec» s’esquisse dans l’art contemporain et convoque les champs du savoir pour fournir, si ce n’est des réponses, du moins des modèles de lisibilité. Beaucoup de peintres, de poètes, de dramaturges, de romanciers, de musiciens, d’éducateurs, de journalistes, de juristes, de philosophes ou de théologiens ont exprimé leur malaise à penser le génocide et leur limite à joindre l’expérience du survivant. Peut-être, le Rwanda ouvre de nouveaux horizons, en rapport avec les champs du savoir, pouvant servir d’un modèle sans prédécent pour toute l’humanité.

Les présentations toucheraient plusieurs questions et disciplines: représentations littéraires et visuelles du génocide, étude comparative des génocides, interrogations philosophiques, éthiques et théologiques, questions de justice et de démocratie, et méthodes en sciences sociales et/ou humaines, etc.

Colloque organisé en partenariat avec:
Ibuka (Rwanda)
California Institute of the Arts (USA)
School of International Studies at the University of Pacific Stockton (USA)
Center for the Study of Genocide and Human Rights at The State University of New Jersey (USA)
Université du Québec à Rimouski (Canada)
Université de Bretagne Occidentale (France)
Groupov (Belgique)

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12 décembre 2007

Rwanda : Voyages, arrêts, retours…


Journée de l’école doctorale
« Théories et Pratiques du Sens »

Mardi 18 décembre 2007
D143
à partir de 9h30

Voyages, arrêts, retours…
sur le lieu du génocide des Batutsi du
Rwanda (1994)

organisée par
Laure Coret et Marie-Odile Godard


Le premier titre de Shoah était Le Lieu et la Parole… En 2006 et 2007, de nombreux « groupes », hétérogènes, de réflexion,d’introspection, de travail clinique, se sont rendusau Rwanda, sur les lieux-mêmes du génocide des Batutsi.
Autour du génocide des groupes se crèent, desgroupes se scindent, de recherches, de tentatives
« symboliques » peut-être de signification de l’événement lui-même, à la fois dans sa spécificité face aux crimes contre l’humanité mais également dans la singularité des événements qu’il définit, des Herreros au Darfour.
Il s’agit de comprendre, il s’agit d’être là, de créer un tiers qui s’oppose à la possibilité même du génocide, et de son accomplissement toujours en actes, longtemps après ce qui semble être les faits eux-mêmes. Il s’agit de s’interposer entre l’espèce humaine et le fond d’horreur partagé qu’il instaure.
Cette journée d’études interrogera précisément ces essais de pratiques du sens… Comment « être là bas » prend ou fait perdre un certain sens du monde, de soi au monde de l’après… le modifie en tout cas ? Ce que l’histoire retient sera ainsi rappelé par Marcel Kabanda.
Ce que le lieu conserve de l’événement, et retransmet, jusque dans l’éclatement de sa violence
sera ensuite discuté, à partir de trois expériences de voyages : les stages de master d’étudiants de Marie- Odile Godard menés à l’Université Nationale du Rwanda, le projet de l’Union des étudiants juifs de France et Croiser les mémoires ensemble : sur les sites du génocide des Batutsi (avril 2006) initié par le Cercle des étudiants rwandais de Belgique.
Ce que nos champs habituels de réflexion apportent à son appréhension, nous proposons pour finir de l’éprouver.


9h30, Marcel Kabanda
1990-1994
« chronique d’un génocide »

10h15, le lieu…
Que signifie se rendre sur le lieu d’un
génocide, d’y retourner après en avoir traversé
l’expérience ou de tenter d’y travailler ?
débat modéré par Jean-Pierre Chrétien-Goni
avec des représentants de différents « voyages »
de recherche, de travail, de mémoires, qui ont
eu lieu au Rwanda en 2006 et 2007
Souâd Belhaddad, Anne Deroo, Caroline
Dingeon, Camille Halâtre et Liliane Umubyeyi.


11h15, les paroles…
Que proposent les Arts, les Lettres, la
Psychanalyse, face à l’événement génocidaire ?
réflexion animée par Janine Altounian,
à partir de propositions pratiques de la
psychothérapie, de la littérature appliquée, de
l’écriture et des arts plastiques
Laure Coret, Marie-Odile Godard, Soko Phay-
Vakalis

Autour des débats, une exposition de
photographies de Paul Allain ainsi que de
posters explicatifs, réalisés par les étudiants
ayant participé aux différents voyages…

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07 juin 2007

Journée d’étude 16 juin ENS -

La Direction des Relations Internationales de l’ENS, le Département de Littérature et Langages de l’ENS, le Département de philosophie de l’ENS, le Club Francophonie-ENS, les Activités Culturelles de l’ENS, le Ciné-Club-ENS, COF-ENS, POLLENS, AIRCRIGE, la Communauté Rwandaise de France, Ibuka-France, Interdisciplinary Genocide Studies Center –Kigali/Berkeley et Présence Africaine organisent :


RWANDA
Récits du génocide, traversée de la mémoire
Journée d’étude
16 juin 2007
Ecole Normale Supérieure
Salle Dussane
45, rue d’Ulm
75005 Paris

9h30
Ouverture


10h00 – 11h30
Session I

« La Mémoire de l’extrême, entre rêve et réalité »

Président de séance : David Collin, écrivain, producteur à la Radio Suisse romande

10h00 : Marie-Odile Godard, Maître de Conférences à l’Université de Picardie : « Les rêves
traumatiques : douleur d’une mémoire extrême »
10h30 : Régine Waintrater, Maître de Conférences à l’Université Paris VII : « Entre
mémoire et oubli : le dilemme du survivant-témoin »
11h00: Discussion


11h30– 13h15
Session II

« Représentations visuelles du génocide des Tutsi»

Présidente de séance : Laure de Vulpian, journaliste, France Culture

11h30 : Marie-France Collard, cinéaste, et Jacques Delcuvellerie, dramaturge : « Autour
de Rwanda 94 »
12h00 : Sonia Fournier, Professeur à l’Université du Québec à Rimouski, Canada : « Image
et mémoire du génocide dans une perspective des théories de l’imaginaire »
12h20 : Jean-Philippe Stassen, auteur de bandes dessinées : « Le problème de la caricature
et de la représentation des idéal-types »
12h40 : Discussion, pause


14h30 – 16h30
Session III

« Défis de la mémoire »

Président de séance : Frédéric Worms, Professeur, ENS-Lille III

14h30 : Documentaire Rurangwa
14h50 : Claude Mouchard, Professeur émérite, Paris VIII : « Se souvenir pour apprendre à
savoir ou à voir »
15h10 : Servilien Sebasoni, Sociologue, ancien enseignant à l’Université du Rwanda :
« Génocide, mémoire et éthique rwandaise »
15h30 : Catherine Coquio, Professeur à l’Université de Poitiers, Présidente d’Aircrige : « La
mémoire du génocide, entre assimilation culturelle et négation politique »
15h50 : Marcel Kabanda, Historien, président d’Ibuka-France : « Mémoire et Histoire. Le
cas du génocide des Tutsi »
16h10 : Discussion, Pause


17h00 – 19h30
Session IV
« Récits du génocide : devoir de mémoire et/ou engagement ? »

Table ronde
présidée par Romuald-Blaise Fonkoua, Professeur à l’université de Strasbourg II, rédacteur
en chef de la Revue Présence Africaine
Avec

Souâd Belhaddad, essayiste et journaliste
Nocky Djedanoum, écrivain, directeur de Fest’Africa
Monique Ilboudo, écrivain, Ministre de la promotion des droits humains du Burkina Fasso
Koulsy Lamko, écrivain
Babacar Sall, poète
Benjamin Sehene, écrivain
Abdourahman A. Waberi, écrivain



Responsable de la journée :

Jean-Pierre Karegeye

Comité organisateur :

Catherine Coquio, Professeur à l’Université de Poitiers, présidente d’Aircrige,
Romuald-Blaise Fonkoua, Professeur à l’université de Strasbourg II, rédacteur en chef de Présence Africaine,
Sonia Fournier, Professeur à l’Université du Québec à Rimouski, “Interdisciplinary Genocide Studies Center”,
Dafroza Gauthier, Présidente « Communauté rwandaise de France »,
Frédéric Worms, Professeur à l’ENS-Lille III
Charlotte Lacoste, Paris X-Nanterre, « Interdisciplinanary Genocide Studies Center »,
Mireille Le Breton, Stanford-ENS, co-fondatrice et co-présidente du Club Francophonie-ENS
Raphaël Laurent, ENS, COF-ENS, président du Ciné-Club-ENS,
Tristan Leperlier, ENS, Club « Francophonie-ENS »,
Jean-Pierre Karegeye, UC Berkeley-ENS, co-fondateur, co-président du Club «Francophonie-ENS », Directeur de « Interdisciplinary Genocide Studies Center », Kigali-Berkeley.


Contacts :
Charlotte.Lacoste@yahoo.fr
Mireille.Le.Breton@ens.fr
Jean-Pierre Karegeye : Karegeye@berkeley.edu, karegeye@ens.fr

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